Voici le livre que j'ai commencé il y a déjà quelques jours... Enfin dans lequel j'ai plongé!
Je n'ai pas lu Fred Vargas depuis plusieurs années et dès les premières pages, je me suis dit que son style m'avait manqué ; il est débordant d'ironie et d'un humour pertinent et subtil! On entre dans un monde totalement extravagant!
« Adamsberg attrapa son téléphone, écarta une
pile de dossiers et posa les pieds sur la table, s’inclinant dans son
fauteuil. Il avait à peine fermé l’œil cette nuit, une de ses sœurs
ayant contracté une pneumonie, dieu sait comment.
– le femme du 33 bis ? demanda t’il. Veines ouvertes dans la baignoire ? Pourquoi tu m’emmerdes avec ça à 9 heures du matin, Bourlin ? D’après les rapports internes il s’agit d’un suicide avéré . Tu as des doutes ?
Adamsberg aimait bien le commissaire Bourlin. Grand mangeur, grand fumeur, grand buveur, en éruption perpétuelle, vivant à plein régime en rasant les gouffres, dur comme pierre et bouclé comme un jeune agneau, c’était un résistant à respecter, qui serait encore à son poste à 100 ans.
– Le juge Vermillon, le nouveau magistrat zélé, est sur moi comme une tique, dit Bourlin. Tu sais ce que ça fait les tiques ? »
– le femme du 33 bis ? demanda t’il. Veines ouvertes dans la baignoire ? Pourquoi tu m’emmerdes avec ça à 9 heures du matin, Bourlin ? D’après les rapports internes il s’agit d’un suicide avéré . Tu as des doutes ?
Adamsberg aimait bien le commissaire Bourlin. Grand mangeur, grand fumeur, grand buveur, en éruption perpétuelle, vivant à plein régime en rasant les gouffres, dur comme pierre et bouclé comme un jeune agneau, c’était un résistant à respecter, qui serait encore à son poste à 100 ans.
– Le juge Vermillon, le nouveau magistrat zélé, est sur moi comme une tique, dit Bourlin. Tu sais ce que ça fait les tiques ? »
C'est vrai avec Fred Vargas on est embarqué dès les premières lignes ! Je me souviens du premier que j'ai lu d'elle, "l'homme à l'envers", que j'avais dévoré (héhé).
RépondreSupprimerJe ne me souviens plus trop de l'histoire, mais je suis sure que "dévoré" est le bon mot pour ce livre-là...
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